RP!!!!!

La Saga Marxiste Episode I : Reconstitution






Marchant sur la plage ensoleillée, coquillages et crustacés craquant sous ses pieds, un homme divaguait le long des vagues.
Une nouvelle après midi d’ennui se profilait pour ce suspect individu, rodant parmi les vacanciers.

« Les plages, se dit-il, sont les meilleurs endroits pour faire des rencontres, espérons que cette journée sera bonne. »

Il avançait donc, tel un zombie, le regard vide et le teint blafard malgré le beau temps, zigzaguant à travers la foule.
Il sortait vers les rues en bétons deux heures plus tard, morose. Il avait en tête de regagner sa chambre piteuse qu’il louait depuis son arrivée.

C’est alors que dans une ruelle, il compris que sa chance lui était offerte. Une jeune femme était agressée par deux individus. Il fendit l’air, sorti son sabre laser, et piqua sur les deux hommes : blessés aux jambes, ils fuyaient. Apres être remise de ses émotions, la jeune femme le remercia, et il reprit son chemin, un peu plus heureux.

Dans sa chambre, il ôta sa cape, se déshabilla, et s’allongea sur son lit, les yeux fixés au plafond.





A une dizaine d’année lumière de là, dans un cargo perdu dans l’espace, deux hommes discutaient.

« Tu sais, je pense qu’il est vraiment temps. Je ne peux plus attendre, je m’ennuie mourir ici.
On devrait essayer de les retrouver, c’est ce qui reste a faire maintenant, non ? »
« Ecoute, je ne sais pas, moi aussi j’ai envie que cela redevienne comme avant, mais ce n’est pas possible. Cela ne l’est plus, on s’est tous perdus de vue et puis, il ne voudra jamais revenir. Il a été profondément marqué par ce qui s’est passé lors de la dernière mission, c’est a cause de ça qu’on a décider de tout arrêter. On s’est fait avoir, et il y a eu un mort. »
« Je sais, mais il est mort justement .MORT . Rien ne pourra le faire revenir ! On a ça dans la peau non, on doit recommencer ! »
« Je suis d’accord, mais ce n’est pas a moi qu’il faut dire ça. On a tous été perturbé, nous ne savons pas ou ils sont et ils n’ont peut être plus leur communicateurs! »
« Tant pis, moi je peux plus continuer comme ça, je vais lancer un appel général. On verra bien si il reste de fidèles combattant. Si nos amis sont toujours la. »

Il sortit l’appareil de sa poche, et appuya sur un bouton. L’appareil de son voisin sonna.



« Raaaa…. Quel est le con qui ose me réveiller a cette heure la… »
Il cherchait dans l’obscurité de sa chambre bien entretenue le communicateur qu’il venait de s’acheter.
« Biiiiiiip….Biiiiiiip….Biiiiiiip… »
« Mais ou est ce que je l’ai foutu ce satané machin ! Lumière !! »

Il avançait alors vers la table basse ou le communicateur était placé.
« Bizarre, il fait rien. Ca sonne d’où alors ? »

Il regardait d'un air perplexe dans la pièce.C’est alors qu’un sourire s’esquissa sur son visage. Il avait un doute.
Il alla alors vers le mur du fond et passa sa main près du centre ; là un coffre apparu, il l’ouvrit. Un vieux communicateur sonnait.
« Les enfoirés …Ils reviennent, on va leur en faire bouffer des frites aux impers !! »

Il regarda alors les coordonnées transmises, et rigola.
Il s’habilla en vitesse, monta dans un transport et se dirigea vers l’astroport ou sa navette était stationnée.

Dans différents endroits de la galaxie on pouvait voir ce même genre de scène, une bonne dizaine de personnes s’envolaient a la rencontre du cargo, qui pour l’occasion, faisait figure d’emblème a travers la galaxie.

Ils reviennent.


Cependant, dans sa chambre d’hôtel, il laissait sonner le communicateur.
Il ne voulait plus bouger pour aujourd’hui, il n’avait plus la force morale : cette lueur d’espoir qu’il attendait tant s’était manifestée, et cela continuait. Malgré cela, il n’était pas encore près pour les rejoindre. Bientôt, peut être….

Bon excepté les phrases ou il manque des verbes...

Ou????

tres bien .... ON voit que monsieur n'a rien d'autres à faire

Et ouai, je m'emmerde grave, alors je vais ecrire, pour faire passer l'ennui.

C'est super soulant a force.

a ouai pas mal

Citation :

Il cherchait dans l’obscurité de sa chambre bien entretenue

je me demande ce que ca veut dire "bien entretenue" pour toi

Ba en fait entretenue un peu comme ta mere qui fait le menage a chaque fois qu'elle passe dans la salle ou la cuisine.
Un truc super propre, un peu du meme style que Bree la maniaque de desperate housewives!

Merci de ne pas éditer mes message à ma place, je m'en sors plus

Je trouve plus la phrase, mais je te juer que t'avais oublié un verbe ( mauvais va )

lol:D Petit moche va:D

Episode II : Retour aux sources.

« Bon je me demande encore combien de temps vont foutre ces blaireaux pour se radiner ici.
J’espere que nos balises emettent encore… »

-« Pas de souci petit, les balises, c’est moi qui les ai concu, alors elles peuvent tout simplement que marcher ! »

« Toujours aussi vantard…J’aurai cru que notre exil en capsule t’aurais remis les idées en place . »

« Justement , elles n’ont jamais été aussi bien placées, mes idées. Alors hein, t’attend les autres si tu veux t’amuser a vanner, moi j’ai assez subit pendant ce voyage a deux balles. »

« Quoi a deux balles, c’est pas moi qui ai voulu tenter le record galactique de vie commune en capsule… Alors les reproches, tu vas attendre encore un peu mon brave, ok ? »


Ils n’en pouvaient plus. Cela faisaient 4 mois que Deathtroy et Faust etaient partis d’Almeria pour cette traversée galactique . Sauf qu’ils commencaient a se taper sur les nerfs, et forcement, ca dérange. Dans une ultime espoir de casser cette monotonie ils avaient lancer la balise d’urgence de la guilde, qui s’était separée peu de temps auparavant suite a la debacle d’une opération, qui vit la mort d’un de leur commpagnon, ainsi que la mysterieuse disparition de leur leader Steph, et d’Ammoniak et son nouveau compagnon de route, le robot Pierre, Roger de son prenom.



A peine plus loin, dans sa navette, l’homme s’endormait. Il etait doublement content a cet instant : d’une part il allait retrouver ses amis, et en meme temps, il avait semé ce robot totalement debile, fruit d’une experience imperiale. Il avait reussi a le laisser seul dans un casino d’une station balnéaire et n’avait plus de trace de lui depuis deux jours. Heureusement se dit-il, jamais il n’avait vu un droide aussi… chiant.
Il parla trop vite. Un signal apparu sur son ecran radar ; il pensait enfin arriver a destination, lorsqu’il s’apercu qu’il en était encore trop loin. C’etait LUI. IL revenait. Roger Pierre.

« Putin, cria t-il violemment dans sa cabine, s’auto-cassant ses tympans. Faut vraiment que je le bute celui la, c’est le seul moyen ! »

C’est alors qu’il vira de bord, executa une vrille et se placa derriere l’autre appareil.

« Maitre, c’est moi, votre machine adorée ! J’ai cru que vous m’aviez oublié a la mer ! »

« Mais oui je t’avais laissé la bas, debile !! Je croyais que t’avais trouvé un autre type a faire chier, ou meme que tu t’etais noyé dans la flotte !!! »

« Mais vous etes mon maitre, Maitre ! Et je ne peux pas me noyer, je suis une machine créée pour vous servir , Maitre ! »

« Pas grave je voulais juste que tu rouilles, que tu te deconnectes, que tu te fasses bouffer par une moule géante, mais que tu viennes plus me faire chier , par pitié, DEGAGES CONNARD !!!! »

Ainsi, il se positionna , et lanca une salve de laser : il toucha l’appareil et failli le detruire du premier coup, il tira une seconde fois, et l’appareil explosa.Il traversa les débris, et vit la carcasse du robot. Enfin, il était en paix, pensa t-il.

Il continua sa route, et commencait a detecter d’autres écho radar qui se dirigeaient au meme endroit que lui , a la rencontre du cargo-capsule.





Episode III : Il faut sauver le soldat …




« Encore un autre qui s’arrime, on est toujours aussi populaire a ce que je vois. « disait Faust, finissant de pianoter sur la console.

Deathtroy se dirigeait vers une des soutes, qui pour l’occasion, servait de point d’encrage aux navettes amies.

Debout, coller contre la paroi, Deathtroy attendait l’ouverture de l’ecoutille. On pouvait entendre alors dans le vaisseau un melange de voix, surtout celle d’ammoniak qui portait loin, et un fond musical, sorti droit du Top 50 Marxiste.
La petite musique d’ascenceur qui resonnait avait la capacité folle d’endormir quiconque se faisait chier. Ainsi en quelques secondes, Deathtroy qui venait pourtant d’arriver, commencait à somnoler.

L’écoutille s’ouvrait , arrachant au passage le pantalon de Deathtroy. Tassadar sortait alors, s’excusant au passage, d’un air toujours aussi gai .

« Salut Death, comment ca va ? Vous vous amusez bien ? »

Aussi aimable qu’une huitre pas fraiche, Deathtroy le fusilla du regard et lui repondit, a peu pres comme ca :

« Salut Tassadar, j’espere que tu vas bien , car dans deux secondes tu va te prendre ma main dans la tronche ! »
*Blarf*

Aussitôt dit, aussitôt fait. Deathtroy colla une bonne tarte dans la tronche de Tassadar, en guise de bienvenue.
« Ca t’apprendra a dire des conneries ! » dit il en haussant les épaules.

Dans la grande piece du cargo-capsule, c'est-à-dire aussi grande qu’un grand placard, se tenait environ dix personnes. Faust et Deathtroy, Ammoniak et Tassadar, ainsi que r2 et Leocast, Ftbllmn et Kyle Katar, enfin Spawn2 et Zsinj.

« Je crois qu’on est au complet pour le moment », commenca Faust.

« Nan, il en manque encore, je vois pas Steph par exemple ! » retorqua r2.

« Eh bien, continua Deathtroy ; nous avons perdu sa trace. Il a disparu. Depuis qu’il est parti, il n’a pas donné de nouvelle, apres on s’est séparés, et donc , ca privilegie pas les recherches. »

Tout le monde se regardait, sans dire un mot.


Assis sur une chaise, en face de la fenetre, il regardait les passants depuis la matinée. Une bouteille d’alcool a la main, son blaster posé sur le rebord de la fenetre, il paraissait faible et deprimé.
On frappe a la porte . Le proprietaire lui ordonne de payer son loyer, il n’a cependant pas d’argent. Il promet qu’il paiera a la fin de la semaine, et le proprietaire hurle. Il repart de l’autre coté du couloir en parlant tout seul.

L’autre referme la porte, pose sa bouteille et s’allonge sur le lit, s’endormant presque aussitôt.


Nous sommes sur un vaisseau. Il y a du monde, des tirs. Des cris resonnent autour de lui, il riposte. Derriere lui se trouve un jeune individu, ils se connaissent bien. Il se rappelle de lui, c’est son frere. Ils avancent tout les deux dans le couloir, enjambant les corps des soldats ennemis. Ils arrivent dans une piece, une personne est allongée au sol inconsciente ; ils se rapprochent.
Il prend son communicateur, et appelle les autres, ils ont ce qu’ils cherchaient, maintenant ils doivent retourner sur l’autre vaisseau. Panique. Impossible de repartir. Les soldats reviennent.
Ils sont tout les trois dans la piece, ils attendent une solution . Les soldats sont devant la porte,ils tirs. Dans la piece, ils bougent, le plus jeune porte la personne inconsciente. Ca y’est ils sont sauvés, les autres les ramènent. Teleportés. Bientôt nous serons saufs, se dit il.
Les soldats continuent de tirer. Il se sent partir, la sensation etrange de la teleportation. Un cri etouffé parvient a ses oreilles.

Il est sur son vaisseau, son frere et l’autre aussi. Il descend la marche, quelqu’un s’effondre derriere lui : son frere, il est allongé. L’autre qui dort l’écrase.
Il ne bouge plus.
Il s’avance vers lui.
Il saigne.
Il ne respire plus, il ne bouge pas.
Il est mort.
Il est mort.


Il se reveille dans sa chambre, et s’assoit au bord du lit. Il pleure. Ilse dirige vers la fenetre, s’assoit sur la chaise, prend son arme et enleve la securité.
« J’aurais du le porter », dit il a voix basse.

Il empoigna l’arme, et se la posa sur la tempe.

boomm ! lol
pas mal

Huhuhu, on voit que tu te fais chier

Bravo pour Pierre Roger

Par contre j'ai pas tout compris... qui c'est le gars qui désintegre le robot? ( ou alors sa mystérieuse identité fait partie de l'histoire? )
Et pq je me suis paumé moi ( et toi aussi d'ailleurs )... ?

tant de questions

Gros naze, Roger Pierre te colle au cul, donc c'est toi qui le flingue:D

Citation :

A peine plus loin, dans sa navette, l’homme s’endormait

Bha oui, mais ça prete à confusion... Ca pourrait tres bien etre qqun d'autre ( serais-je le seul gars dans cette guilde? bande de Tafiole ....)


Aller, pond nous la suite

Suite pondue, je suis fatigué pour ecrire encore la suite, mais je sais enfin comment ca va se finir. Donc, si je connais la fin, je vais avoir le milieu^^

Episode 4 : Chers Compatriotes


Sortant du taxi qui l’emmenait a la salle de conference galactique, l’homme en gris, grand, moustachu , avancait vers l’entrée, tout souriant. Il penetra dans le hall, croisa trois hommes en discussion, et s’arreta a la file de l’accueil.

L’homme paraissait pressé, mais continuait de faire la queue. Plusieurs personnes passaient, rentrant directement dans la grande salle. Ils le fixaient, trouvait il, enfin ce n’etait peut etre que son imagination apres tout !
Apres quelques minutes d’attentes, il reussita entrer. Il s’installa dans une loge, bien en hauteur,de facon a bien voir toute l’estrade.

Le temps passait a une vitesse folle. Il lui semblait etre arriver a l’instant, lorsqu’il entra sur scene.
Le General Degavin.
L’infame general , se dit il, celui qui fait peur a quiconque entend son nom. Mais pas a lui .
Ce general, que l’on soupconne d’executer les prisonniers de guerre, de tuer les femmes et les enfants, et de fouetter ses chats, est pourtant un des proches de l’empereur.

Quel beau coup ; dit-il dans un murmure.

Le General Nejik Degavin avait commencé son allocution depuis un petit moment, lorsque notre individu s’activa.
Il verrouilla l’entrée de la loge, sortit plusieurs objets de ses manches et poches, et meme de son calecon. Il assemblait alors les pieces, c’est alors qu’un fusil fut fait.

Il se placa sur le balcon, pris position de tir. Il n’attendait plus que le signal de ses complices.
C’est alors qu’il entendit tousser dans la salle.

« Viiiiiite, il s’etouffe !!! » cria un homme plus bas.
« Le signal se dit il alors ; tirons ! »
Et il tira, pas n’importe ou me direz vous, il tira sur Degavin.
Le silencieux opéra a merveille, et la flechette silencieuse atterit en plein coup de Degavin.

Aussitôt, un second mouvement de panique pris place, apres l’homme qui s’etouffe, le General fais donc un choc a pic avec le sol.
« OoooOOOoooooh » s’exclama la foule.

Les deux sous fifres du general le releva en toute hate, et se dirigerent derriere le rideau .
On put alors entendre un bruit etrange, et voir une lumiere bleutée sous le rideau.

Aussitôt l’homme alluma un boitier, et dit : « C’est bon, ramenez moi a bord ! »
En trois secondes, il quittait la grande salle et se retrouva dans une petite salle, sur un vaisseau.

« Tu les as recupérés ? »
« Qui ca ? » repondit le second homme.


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Episode 5 : L’Alarme Fatale


« Quoi ???? » cria Deathtroy en plein dans les tympans de Tassadar.

« Mais j’ai pas eu le signal moi, Faust et r2 on pas bippé ! »

« Mais quel blaireau celui la, c’est pas permis…Putain…Bon renvois moi la ou tu m’a pris »

Swiiiiiiiiitch….

Deathtroy se retrouva dans sa loge, avec vue imprenable sur la salle.
Sauf que, ce n’etait plus le meme spectacle.
Au centre de la salle, planqués parmis les sieges, des soldats imperiaux tiraient devant et derriere eux. Sur la scene, Faust et r2 se cachaient derriere le pupitre et des fauteuils,tandis que le gros General dormait toujours dans un coin de la scene.
Sous lui, un autre groupe de Marxistes tiraient vers les imperiaux.
Cela devait etre les 6 autres, qui faisaient les gais dans le hall. Deathtroy arma son arme de poche, et tira.
Les imperiaux furent tués en vitesse grand V.
Les marxistes verrouillerent les issues de la salle, tandis que Deathtroy les rejoignait.

En arrivant en bas, Deathtroy vit alors le carnage. Les cadavres imperiaux jonchaient le sol, mais plus grave, deux pertes etaient a deplorer coté marxiste ; Kyle Katar et Zsinj n’avait pas resisté, comme des tapettes. Ammoniak, secoué par des evenements personnel, fondit alors en larme, son ami Zsinj etait mort au champ d’honneur.
Il sortit un mouchoir, et s’essuya les yeux, pleurer quand on va tirer, c’est pas pratique.

DEathtroy conclut alors qu’il etait temps de partir de ce trou perdu. Il sortir son communicateur :

« Tassadar, ramene nous vite !! »

« Euh…Impossible Death, j’ai deja essayé, ca marche plus. Ha oui, y’a une dizaine d’appareils imperiaux qui viennent vers moi. Je pense qu’ils nous brouillent, je fais quoi ? »

« Tu les appelles et tu leurs demandes de boire le thé avec toi ? »
« Ha oui, pas bete »
« MAIS T’ES VRAIMENT TRES CON TOI TU SAIS ??? VIENS NOUS CHERCHER, DEBILE !!!! ON A DES PERTES !!!!! »

« Des pertes ?Mais vous avez fait quoi en bas, ca m’excite…. »
« T’es pas recuperable putain, depeche toi, amene ton cul et sauve nous ! »
« Bon j’accoure ! »

Tassadar amorcait sa descente sur coruscant, direction la Salle de congres Imperiale. Il pensait que le Marx allait tenir. C’est pas faux.

Pendant ce temps, Deathtroy et les autres pensaient a un plan pour sortir, et ainsi evacuer les lieux avec le prisonnier.


Cependant, Tassadar devait atterir pour les prendre, et toutes les troupes imperiales seraient a son cul. Il devrait etre content, se dit Faust.C’est pas faux, se dit Tassadar au meme moment.

En une minute ou deux, ils allaient tenter leur sortie : en force dans le hall.

Spawn deverouilla la porte, et ils sortirent.
Sauf que, le hall etait vide.
« Ca alors » se dirent les marxistes, portant le general et les corps de leurs compagnons.
Ils avancerent doucement et a quelques metres de la portes, tout fut plus rapides. Les imperiaux venaient de derriere : décidemment, se dit Deathtroy.
Les tirs fusaient, le verre eclatait, et les marxistes s’enfuyerent. C’est bien.

Mais pas assez.

Tassadar qui etait aussi bon pilote que Jean Paul II danseur de claquette, n’avait pas reussi a se poser sur coruscant. Meme pire, il avait reussi a attirer tout les appareils imperiaux a distance de Coruscant.
Il prevint deathtroy, puis l’informa de sa decision de fuir vers leur QG.

Les marxistes tomberent des nues. Et la chute fut lourde.
Pas de transport pour fuir, avec leurs cadavres et le gros.

Ils marchaient dans une ruelle, se dirigeaient vers l’astroport, quand ils furent surpris par une patrouille.
Tout le quartier fut aux aguets ; des soldats a chaque coins de rues, et nos fideles qui avancaient tant bien que mal vers l’astroport. Apres moults combats, ils sprintais vers les docks de l’astroports.
Liberté ; sauvés, se dirent ils.


C’est alors que 5 hommes s’arreterent net devant eux, sortant d’un recoin des docks.

« Mains en l’air !! Alors les fillettes, on veux se faire la belle ? »


*Fin de l'episode*

Citation :

General fais donc un choc a pic avec le sol.

Choooc a piiiiiiiicc, C'est fort en chocolat...


Tient c'est vrai ça... Il est mort Zsinj? ça fait un plombe que je l'ai plus vu, meme sur msn... J'insulte qui moi mtn? ( Ratchet et din, vous serez les 2 injuriés ... Pour les commodités d'usage, voyez avec Spawn, ma secrétaire ( tres ) particulière )


Sinon Stephounet, t'as encore des fautes de grammaires ( mais à part ça, ton rp est pas mal )

Citation :

Les deux sous fifres du general le releva

Edit: Elle est ou la phaute?
ReEdit: si tu parles de sous fifres, c'est fait expres: ils sont "sous" fifres.

Episode 6 : Rencontre du 15eme type


« Alors les tapettes, on execute ! On leve les bras bien gentillement . Voila faites comme votre copain la, le gros avec un mort sur le dos. »

« Eh !!Mais je suis pas gros ! »

« Et moi je suis une twi’lek n string ? »
« Bon d’accord, ca doit etre les frites… »

Les marxistes baissaient les armes, levaient les bras, mais le temps jouait contre eux : les imperiaux etaient toujours derriere.

« Desolé messieurs, mais j’ai du faire une erreur ! Nous avions captés mais collegues et moi les informations imperiales, donnant l’alerte concernant un enlevement . Apparement, vous etes les auteurs du rapt ! A qui avons-nous l’honneur ? »

« A la MarX’Alliance monsieur, mais nous sommes pressés, il nous faut fuir maintenant. Sinon nous finirons aussi vivant que le slip de votre arriere grand pere ! »

« Mais j’allais vous proposer notre aide messieurs ! Abaissez vos armes vous autres, ce sont des amis ! Levons l’ancre alors ! »

Ils se dirigerent tous, sans hesitations, dans le vaisseau des inconnus.

Les imperiaux, venant d’arriver au moment ou la soute se ferma, n’y avaient vu que du feu.

C’est ainsi que la machine s’eveilla, les armes s’ajusterent sur les soldats au dehors, et les fusilla. Ils decollerent aussitôt.


Apres quelques minutes de tensions, tout l’embarquement fuya la capitale imperiale, laissant a ses trousses quelques batiments ennemis.
En direction vers le point de rencontre avec le vaisseau marxiste que Tassadar dirigeait, notre equipage fit connaissance.

« Desolé de vous avoir menacés messieurs, mais c’etait necessaire. Je me presente : je suis Jan Dodonna, et voici mes equipiers. Dans l’ordre, Ouarzazate, Ratchet, Din Slate et Sylmillian Threth. Nous serons heureux de vous aider ! »

Apres quelques verres, nos hommes devinrent les plus grand amis du monde, passant grace a l’alcool, du rire au larme, pensant et faisant les éloges de leurs camarades morts au combat.

Faust, completement saoul comme les autres, engageait une conversation des plus passionnante.
« Mais dis moi Jan, qui c’est qui pilote ton ptit vaisseau ? »
« Et bien c’est notre chauffeuse de bord, notre chere Turique. Va la voir si tu veux, elle est tres…sympa ! »

Faust apres trois tentatives infructueuses, se leva et tint debout. Il se dirigea tant bien que mal vers le cockpit, et y penetra.

« Saaaaaalut, y’a quequn ? »

« Bonjour ! vous devez etre un de nos invités non ? Mais entrez donc, ne restez pas deb…Assis sur le pas de la porte ! »

Faust rampait tel une larve sur un steack, avancait vers le siege central du cockpit.

Il s’accrocha a l’accoudoir, se mit debout, et regardait devant lui.
« gneuuh.. ;Z’est quoi ton ptit prenom ma cherie ? »

« Je m’appelle Barbie ! Barbie Turique . »
« Ouuuuh quel jolie nom…J’aurais bin envie de vous niquer Barbie. »

Faust se laissa tomber sur la fille blonde, a forte poitrine.
Seul souci, c’est qu’il la penetra litteralement.
Malheur, il se rendit compte que la belle Barbie Turique n’etait qu’un hologramme !

« Oh malheur ! » dit il.

« Je suis le pilote automatique monsieur ! Je ne suis qu’une representation de l’ordinateur de bord ! »

« Eh merde…Pour une fois que je suis en presence d’une beâuté a coté de moi, pas de chance… »

Surement sous l’effet de l’alcool, Faust s’effondra comme une pierre a coté du siege.
Barbie Turique se recadra fac a l’ecran, et ne bougeait plus.


Episode 7 : Le coup du Pere Francois


« Tu vas crever, pourriture… L’Empire ne peux pas se laisser battre par de telles raclures. »

« Plutot crever que de t’ouvrir connard, mais foutu pour foutu, tu creveras avec moi ! »

Deathtroy s’elanca sur Degavin, et vice-versa, renversant ainsi table et chaises. Le fusil que tenait Deatrhtoy tomba, la lutte commencait..

*16 heures plus tot.*

Faust se reveillait dans son lit, n’ayant plus aucun souvenirs du comment il s’etait couché et ce qu’il avait fait apres etre remonté sur le MarX.
Il se lava puis se prepara, rejoignant les autres sur la passerelle.

Ils avaient tous discuté avec Tassadar, qui planifiait les reparations du vaisseau, au sujet de la mort de Zsinj et de Kyle Katar. Une ceremonie devait etre organisée le jour meme, en compagnie de leurs nouveaux amis, qui deciderent entre autres de rejoindre les rangs de la MarX, et de passer les test habituels préparés par Ammoniak(Test physique : saute mouton/ Test perceptif : le jeu du ver de terre( nu dans un bassin d’eau froide, d’où il faut eviter des pics rouillés empoisonnés qui sortent du fond.) et enfin le test Marxiste, capacité intestinale( 10 plats gatronomiques a manger a la suite, dont le fameux « Plat de Frites a la Sauce a la Biere ; d’Ammoniak bien sur.))

Une fois tout terminé,la ceremonie se deroula magnifiquement. On lanca donc apres un discours de r2 les depouilles des deux marxistes dans l’espace, enfermées dans des sarcophages rouge en forme de bite .
*8heures plus tard*

Les Marxistes s’etaient reunis pour la suite de leur mission. Que faire de Degavin ?
Le garder prisonnier et le laisser sur une planete lointaine, suggérait Leocast.
L’humilier et lui soutirer des informations vitales suggérait Ftb.
Le torturer jusqu'à ce que mort s’en suive, suggérait alors Tassadar.

Au final, un compromis des trois ressortit : garder le prisonnier, l’interroger et soutirer des informations, l’humilier et le torturer, puis le laisser sur une planete.

Programme chargé donc.

« Mais ou est Degavin en ce moment », dit Deathtroy a Faust.

« On avait pas beaucoup de place, alors on l’a mis dans une salle relais, pas loin de la passerelle. »
« Une salle relais ?Mais vous etes fous, il peut prendre le contrôle du navire si jamais il decouvre les panneaux de controles ! »
« Impossible, affirma Spawn, nous les avons bien scellés. »

A cet instant, une alarme sonna.
Les portes se verouillait les unes apres les autres ; aussitôt, les marxistes quiterrent la petite salle pour partir vers la passerelle. Inutile. Ils furent bloqués dans un couloir.

« Ici r2 ! Je suis sur la passerelle avec Tassadar, nous avons perdus les commandes, nous essayons de les reprendre. Notre contrôle sur le vaisseau n’est que partiel . »
« Merde, se dit Deathtroy ; Degavin a pris les commandes , tu parles de la securité des panneaux ! Mais bon dieu, vous etes lourds les mecs !!! r2, contact le vaisseau de Jan Dodonna, informe les de notre situation, dis leur que nous retenons Degavin ! »
« Mais ils le savent deja ! »
« Bon et bien dis leur que si il y a du grabuge, qu’ils nous attaquent et qu’ils detruisent nos systemes de propulsion et d’armement. Degavin ne pourra plus rien a ce moment la . »
« Bien Death, nous l’informons. Tassadar a debloqué l’acces a certains couloirs. A plus tard ! »

Les marxistes bloqués formerent deux equipes.
Une equipe qui partait vers la salle des machines, une autre vers la salle des armes.
Death allait avec Leocast ainsi que Spawn vers la salle des armes.

Ils avancerent rapidement, et sans embuches, ils prirent les armes, et lorsqu’ils sortirent, le probleme survint. La porte commencait a se refermer . Les trois marxistes courraient vers la sortie. Seulement, Deathtroy fut le seul a reussir a sortir.

« Deathtroy, va dans la salle relais, occupe toi de Degavin et reprend le contrôle, dit alors Leocast a travers la porte, c’est la seule solution pour que tout cela cesse ! »

Deathtroy partir en courant, travsersant les couloirs, et se rendit compte que la derniere porte du couloir avant de pouvoir penetrer dans la salle etait verrouillée.
Deathtroy tira toute une rafale dans la porte, avant qu’une partie seulement ne tombe ; partie suffisant pour s’y glisser.
Il avancait maintenant, et se trouvait devant la porte de la salle, fermée.
Il vida tout la puissance de son arme, defoncant la porte au passage, et penetra.
Degavin fut surpris , aussi surpris que le choc de la mandale que lui infligea Deathtroy.

*Retour a la scene initiale*

« Tu vas crever, pourriture… L’Empire ne peux pas se laisser battre par de telles raclures. »

« Plutot crever que de t’ouvrir connard, mais foutu pour foutu, tu creveras avec moi ! »

Deathtroy s’elanca sur Degavin, et vice-versa, renversant ainsi table et chaises. Le fusil que tenait Deatrhtoy tomba, la lutte commencait..

DEathtroy avait le dessus, mais Degavin apres un bon coup le renversa ; Degavin pris le fusil et tint en joue Deathtroy.

« L’Empire vaincra ! « dit il alors dementiellement.
Il tira, mais rien se passa. DEathtroy lui brisa les testicules d’un coup de pied droit, Degavin tomba sur le genoux, et sombra dans un sommeil sans fond.
« Plus de batterie, je t’avais pas prevenu mon pauvre. En tout cas, si l’empire se bat aussi bien que toi, je parie que nous le vaincrons ! »

Deathtroy renvoya les commandes en salle des machines, et Degavin fut transporté vers la salle de reunion.

Le lendemain, Deathtroy passa a l’interrogatoire.

Apres plus de 6 heures de menaces, de violences corporelle et d’insultes en tout genres, rien ne filtra de la part du general .

« Vous pourrez toujours me torturez, vous ne saurez rien de moi. Vous n’obtiendrez aucune informations utiles pour votre rebellion.
Cependant… j’ai une information qui pourrait vous interesser particulierement. J’exige qu’en echange de cette information, je sois liberé et restitué a l’empire. Ceci n’est pas negociable. »

« Vous n’etes pas en droit de negocier quoique ce soit.Si il y a un choix a prendre, nous le prendrons. Pas vous. De toute facon, l’empire tiens a ses vieux meubles, morts ou vivants. On va vous y renvoyer quelques soient les issues de votre voyage chez nous. Dites nous de toute facon ce que vous voulez, nous reagirons en consequence . »

« Tres bien. Nous avons capturé il y a deux jours un dissident rebelle. Il me semble, qu’il a été tres actif dans vos rangs . Depuis un moment, il etait seul sur une planete balneaire, errant dans les rues et jouant au justicier masqué. Vous ne voyez pas ?
Faites un effort.
Allez.
Vous voyez, vous vous souvenez.
Vous me le cachiez bien n’est ce pas ?
Dites moi donc si vous avez trouvé .
Vous avez dit ?
C’est bien lui. »

« Steph… »

si si, la faute c'est " le releva " ... ça devait etre " le releverent"...


Sinon, tu t'en merde à ce point pour écrire de Rp ?

la faute, c'est "la fauteS", hein Ammo?


sinon , l'autre faute, c'est toi ^^

Un " s"? ou est ce que tu vois un s? ( Mouahhahhahahaha la magie des "édit" )

je vois le S de Sadique inscrit sur ton entonnoir surtout

A quand le suite?
Et ont parle pas beaucoup de moi dedant